Sarment d'Ivrogne
Biscornu tu es cher caboulot, avec tes voluptueuses fumeroles, et tes chopes douteuses, et où raisonnent d’ amphigouriques palabres
Idoine endroit où je picole chaque jour d’un verre bien décidé. Mais pourtant lasse de mes divagations, je voudrais t’oublier et comme
Sisyphe j’essaie alors de remonter la pente de la pochardise et adopte,
Tisanes, décoctions le soir enfin venu, pour de l’addicts pouvoir définitivement guérir.
Risque –tout et surtout inconsciente, alors sur la chose avilissante, je m’abreuve de moult réflexions
Oscillant entre un verre de Cherry ou un os de poulet à sucer mais hélas comme un
Tison, dans mes divagations hallucinantes, alors tu surgis et rallumes sans cesse la braise de ma passion.