Un zakouska, des zakouski C'est singulier comme pluriel,non ?
http://samedidefi.canalblog.com
Amélie est une belle brunette aux seins généreux .
Dans son petit coin du midi chaque jour, elle sirotait avec Marcel, à heure de l’apéro, le pastis accompagné d’ olives tout droit tombées de l’olivier du jardin de son copain Eden. De succulentes olives. Euh ! oui, quoi, je le concède, elles ont quand même entre temps subies quelques métamorphoses pour les rendre moins amères.
Elle a longtemps savouré avec volupté ces moments capiteux
Mais comme Marcel buvait sans modération, qu’il ramollissait et n’était plus à la hauteur, elle l’abandonna sans remords, lui et sa Provence un 22 septembre ensoleillé.
Elle s’évapora vers l’Italie où le Chianti la fit chanter, mais rapidement elle déchanta. Ce n’était pas la dolce-Vita dont elle rêvait. Elle n’apprécia pas le tempérament trop volage de son bel italien. Une dernière rasade de Chianti et elle déguerpie en catimini, craignant son acerbe colère
Lorsque qu’un grand russe débarqua dans sa vie tout changea. Il lui offrit de la vodka avec des petits zakouski. Ces collations se terminaient toujours par une séance très capiteuse dans un Jacuzzi
Mais, à nouveau blasée, et de surcroit s’enrhumant souvent en Russie, elle prit le large pour l'Espagne
Elle y connu un original hidalgo qui était sobre et ne trinquait qu’avec un verre d’ eau. (Ce qui porte malchance au lit dans ce pays)
Désespérée, ne le trouvant pas assez gouleyant, elle lui offrit l’Ultima.*
Veuve elle fit bon usage des pesos qu’il avait thésaurisés.
Cependant elle s’interrogeait, et pour essayer d’expliquer son attirance envers les boissons capiteuses, en vue d’une thérapie, elle se plongea dans la généalogie-familiale, à la recherche d’éventuels ancêtres intempérants. Ainsi à la Xieme génération, elle se découvrit une aïeule anglaise.
Elle vit Gin aussitôt.
Pour élucider d’avantage les causes de son penchant , elle partit au pays de Galles.
Elle rencontra Charles qui lui fit gouter le chwisgi, qu’elle apprécia, mais rapidement, se dégouta du pain d’épices qui l’accompagnait.
Le gentleman trop plat à son gout, ainsi que le smog ne lui convenaient pas, elle prit à nouveau le large.
Mais lassé de ses pérégrinations, elle ouvrit un bar à apéro, dans l’Hexagone, évidemment.
Depuis, Il ne désempli pas. Autour du zinc on voit des amateurs de tout azimut.
Trois choses les réunis : leur soif inextinguible , la douceur des petits zakouskis qu’elle confectionne de ses mains cajoleuses, et les beaux seins d’ Amelie qu’ils peuvent contempler à plaisir.
mélie est une belle brunette aux seins généreux .
Dans son petit coin du midi chaque jour, elle sirotait avec Marcel, à heure de l’apéro, le pastis accompagné d’ olives tout droit tombées de l’olivier du jardin de son copain Eden. De succulentes olives. Euh ! oui, quoi, je le concède, elles ont quand même entre temps subies quelques métamorphoses pour les rendre moins amères.
Elle a longtemps savouré avec volupté ces moments capiteux
Mais comme Marcel buvait sans modération, qu’il ramollissait et n’était plus à la hauteur, elle l’abandonna sans remords, lui et sa Provence un 22 septembre ensoleillé.
Elle s’évapora vers l’Italie où le Chianti la fit chanter, mais rapidement elle déchanta. Ce n’était pas la dolce-Vita dont elle rêvait. Elle n’apprécia pas le tempérament trop volage de son bel italien. Une dernière rasade de Chianti et elle déguerpie en catimini, craignant son acerbe colère
Lorsque qu’un grand russe débarqua dans sa vie tout changea. Il lui offrit de la vodka avec des petits zakouski. Ces collations se terminaient toujours par une séance très capiteuse dans un Jacuzzi
Mais, à nouveau blasée, et de surcroit s’enrhumant souvent en Russie, elle prit le large pour l'Espagne
Elle y connu un original hidalgo qui était sobre et ne trinquait qu’avec un verre d’ eau. (Ce qui porte malchance au lit dans ce pays)
Désespérée, ne le trouvant pas assez gouleyant, elle lui offrit l’Ultima.*
Veuve elle fit bon usage des pesos qu’il avait thésaurisés.
Cependant elle s’interrogeait, et pour essayer d’expliquer son attirance envers les boissons capiteuses, en vue d’une thérapie, elle se plongea dans la généalogie-familiale, à la recherche d’éventuels ancêtres intempérants. Ainsi à la Xieme génération, elle se découvrit aïeule anglaise. Elle vit Gin aussitôt. Pour élucider d’avantage les causes de son penchant , elle partit au pays de Galles.
Elle rencontra Charles qui lui fit gouter le chwisgi, qu’elle apprécia, mais rapidement, se dégouta du pain d’épices qui l’accompagnait.
Le gentleman trop plat à son gout, ainsi que le smog ne lui convenaient pas, elle prit à nouveau le large.
Mais lassé de ses pérégrinations, elle ouvrit un bar à apéro, dans l’Hexagone, évidemment.
Depuis, Il ne désempli pas. Autour du zinc on voit des amateurs de tout azimut.
Trois choses les réunis : leur soif inextinguible , la douceur des petits zakouskis qu’elle confectionne de ses mains cajoleuses, et les beaux seins d’ Amelie qu’ils peuvent contempler à plaisir.
*ultima