500 ieme défi
défis ! Pour eux voici un chiffre joliment rond.
Malgré leurs deux zéros ils n'sont jamais abscons
Et v'là que par une belle journée de juillet 2013 j y inscrit ma maison .(clic dessus.sur maison)
Oui par ce jour fatidique j 'entrais dans l’engrenage
Et depuis cinq ans j’y batifole gaiment , ce, malgré mon grand-âge
A huitante-trois, me direz vous on peut scribouiller n importe quoi
Les défiants restent polis même si vous êtes de guingois
Bref pour revenir au sujet du jour qui pour un fois m inspire
Je me dois d honorer cette énième édition, aussitôt sans glapir.
Les architectes de ce Sam' défi *Atelier, ont su bâtir une solide maison
J'ai ouï-dire qu’ à s’y activer il n’en reste plus qu’ un et selon le dicton,
S'il n' en reste qu’ un ce sera celui-là, à point nommé the Boss, tonton,
Oncle Walrus ainsi rebaptisé par ses fans, peut-être en manque d' affection
Mais il le vaut bien car sans rechigner- là je le présume - pour chaque sériale- semaine
Il cogite
Il édite
It comments
Ses week end sont pourris. Son épouse en manque d’attention.
Mais tout ceci n’est rien en comparaison des malheureux penseurs, ces neveux enthousiastes qui sur la toile élucubrent
Car
Depuis cinq ans, chaque semaine ils hésitent, renoncent à écrire sur le sujet proposé, affolés devant la sempiternelle page blanche que l’injonction choisie génère aussitôt.
Dans leur tête ils pensent y renoncer, mais justement comme ils n’en font qu’à leur tête, ils foncent.
A cet état s’ajoute, ou peut être y participe, l’addiction à cette plumitive drogue.
Un ordi, un dico, des idées qui foisonnent en tous sens, et v’là au dernier moment, le vendredi, avant le Bénédicité, c’est l’envoi du courriel à Walrus, sa boite mèl est saturée.
Cinq ans d'amour pour l’embrouillamini, l’envolée littéraire, mais surtout pour échanger, rire ou grincer des dents, pleurer parfois, à la lecture des commentaires,pour aussi découvrir le billet des autres participants, qui parfois deviennent des copinautes, et commenter leurs textes, un travail de titan si l’on veut jouer le jeu, car tous le méritent bien.
Conclusion
Et, coincidence, comme cette 500 °semaine, on a remis l’heure du printemps à la guimbardedu salon, j’en ai une de plus devant moi, j'la laisse pas s'envoler,
Alors telle une infatigable logorrhéique j’ai écris mon laïus, n’ayez pas d’illusion, vous ne me couperez pas facilement la guimbarde..
Mais je vois que vos 20 chevaux se hérissent à longueur de ce billet , alors vitement je sors, et repart dans ma vieille guimbarde.
*nota sam’atelier eu- égard à notre Iowa-girl, j’emploie fréquemment cette formule pour lui prouver que Moa aussi je sais causer english☺ Euh,... enfin ôtons cette prétention.
bises.
Jak pour
À l'occasion de ce cinq-centième défi,
je vous aurais bien interprété un hymne
pompier à souhait !
Hélas, le seul instrument dont j'ai jamais
réussi à jouer, c'est la Guimbarde !